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mardi 22 février 2011

Mardi 22/02

C'est toujours désertique, c'est toujours tout droit.
Qui vit là ?
Des policiers qui gardent une trace écrite de notre passage. Les contrôles sont fréquents, le sourire et la gentillesse les accompagne.
Des pêcheurs qui vivent sur les plages dans des petites baraques de fortune faites de carton, de plastique et de filets. A coté sont construits des villages fantômes, certainement dans le but de reloger ces familles.
Quelques stations services rustiques, avec un carburant détaxé (le gasoil est à environ 0,50€)
Des éleveurs de dromadaires qui rendent visitent à leur troupeau esseulé au volant d'un vieux land rover 109, le chech sur la tête.
Nous arrivons enfin à Dakhla qui est au bout d'une langue de terre de 30 km, recouverte de sable blanc. Nous nous installons en bord de mer "sous la langue" à coté de plein d'autres camping-car. Le sol est constitué de fossiles de coquillages, d'une épaisseur de 30 cm, ce qui le rend très friable. Le bord s'effondre régulièrement. Le danger est balisé par des bornes en ciment. Le vent est terrible et n'arrête pas de souffler.
















Au premier plan, les cabanes de pêcheur et en haut des maisons neuves et vides ?


La route est longue et il faut parfois mettre le nez sous le capot
 Pour faire plaisir à Carole, une carte pour nous situer. Merci à Damien, pour nous avoir aidé dans la manip.
On est là, vous pouvez zoomer sur la carte


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