Souk le matin à Skoura et petite balade à pied l'après midi entre les nombreuses kasbah et jusqu'au gué de l'oued. Une leçon d'informatique pour "farcir" la tête de Roger.
jeudi 31 mars 2011
lundi 28 mars 2011
Dimanche 27/03
En route pour Skoura, petite ville à 50 km de là. Nous trouvons un grand espace dans la palmeraie de Skoura entre les nombreuses casbahs et sous un énorme tamaris, près d'un moulin à olives. Une petite dame a insisté pour nous faire visiter son jardin (oliviers, amandiers, blé, luzerne) et sa maison en terre. Nous y avons bu le thé, mangé d'excellentes olives au citron préparées par elle_même, trempé dans le pain/galette dans l'huile d'olive. La maison est très modeste mais a les principales commodités, un robinet d'eau de la ville et les toilettes.
Four à pain, le pain est collé aux parois pour la cuisson (un couvercle en tole coiffe le dessus)
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Four à pain, le pain est collé aux parois pour la cuisson (un couvercle en tole coiffe le dessus)
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dimanche 27 mars 2011
Samedi 26/03
Encore une journée à fond. L'après midi une virée en mob à Aït Benadou et ensuite un passage à la station pour le lavage du pétarou. On est allé pisser à l'écart de la route et on était au milieu des "jardins" avec de l'irrigation. L'eau avait débordée sur le chemin et on a fini par bloquer la roue arrière à cause de la terre "amoureuse". C'est cette même terre qui sert aux potiers pour faire les jarres. Au retour Roger a fait des achats en ville et on s'est fait un bon sandwich avec de la baguette fraiche et du jambon (le premier jambon depuis deux mois). Un petit jésus en culotte de velours.
samedi 26 mars 2011
Vendredi 25/03
Bricolage sur le camion de Roger, repos, promenade ... avec Roger. Au petit déjeuner, nous avons observé les véhicules autour de nous, le quitche est au rendez-vous (voir la collection de chiens en peluche sur le tableau de bord).
Le soir, on prend un jus de fruit dans un bar à fruit en ville. C'est délicieux et pas cher. On peut demander ce que l'on veut, même des mélanges. L'avocat avec des amandes est fort agréable.
Le soir, on prend un jus de fruit dans un bar à fruit en ville. C'est délicieux et pas cher. On peut demander ce que l'on veut, même des mélanges. L'avocat avec des amandes est fort agréable.
vendredi 25 mars 2011
Jeudi 24/03
Nous quittons à regret les personnes du camp targui et sans regret le lieu. Après le souk d'Agdez, direction nord vers Ouarzazate. Le paysage est grandiose, les montagnes sont encore différentes, acceptant à leur pied les gorges creusées par l'eau maintenant absente. On passe un col à 1570m. Nous retrouvons Roger au camping de Ouarzazate, Martine à repris l'avion pour la France.
Le taxi ford transit charge pour ses clients des perches en bois d'eucalyptus
Marchand de sel
Un paysage grandiose qui rend guère sur une photo
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Le taxi ford transit charge pour ses clients des perches en bois d'eucalyptus
Marchand de sel
Un paysage grandiose qui rend guère sur une photo
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mercredi 23 mars 2011
Mercredi 23/03
Petite journée calme : sortie du lit plus tard qu'à l'habitude car hier soir on a veillé autour d'un verre de thé en compagnie de Saïd et de 3 touristes du nord (de la France) en vacances pour 2 semaines ici. Ensuite comme toujours, la bouffe nous a bien occupée. On a fait de la confiture d'orange car celle qu'on achète chez l'épicier n'est pas top et on a fini notre stock maison depuis longtemps. Cet après midi une jolie petite balade à mobylette.
On a pris un chemin au pied de la montagne qui surplombe la palmeraie
Un bel oiseau pas farouche du tout
On a pris un chemin au pied de la montagne qui surplombe la palmeraie
Un bel oiseau pas farouche du tout
mardi 22 mars 2011
Mardi 22/03
Nous repris la route pour Agdz, en faisant une halte dans un souk très pittoresque. Au campement d'agdez, nous avons retrouvé Saïd (le proprio) et David (un français en voyage) que nous avions quitté deux jours plus tôt à Mhamid. Un petit tour en mob cet après midi et ce sera tout pour aujourd'hui.
A Agdez on trouve à acheter de la laine en écheveau pour faire les tapis
Le panneau qui indique dans agdez le camping
A Agdez on trouve à acheter de la laine en écheveau pour faire les tapis
Le panneau qui indique dans agdez le camping
Lundi 21/03
La route Mhamid-Zagora a passée vite car nous étions en compagnie du jeune québécois qui voyage en transport en commun. Arrivés à Zagora, nous retournons au camping Sindibade, pour y passer la nuit. La douche est toujours aussi chaude (même trop, l'eau est calcaire et le chauffe-eau est entartré). Emplettes en villes, avec la pression des rabatteurs des magasins pour touristes, c'est lourd comme ambiance.
Celle la aura du mal à repartir
Celle la aura du mal à repartir
Dimanche 20/03
Le temps passe lentement dans le désert ...
Jusqu'au soir pour aller voir le spectacle
C'est tout pour aujourd'hui
C'est fou ce qu'on est courageux en ce moment (le soleil peut-être)
Jusqu'au soir pour aller voir le spectacle
C'est tout pour aujourd'hui
C'est fou ce qu'on est courageux en ce moment (le soleil peut-être)
dimanche 20 mars 2011
Samedi 19/03
Journée de repos. Les 3 repas pris sous l'abri du camping fabriqué en tronc de palmier refendu, très frais malgré la température élevée (30°C bien tassé). Lecture après le déjeuner et petite virée dans "le désert" avec le pétarou. La soupe cuit et on va bientôt aller au centre du village à pied (1km) pour la suite du festival en espérant que ce sera mieux qu'hier au soir (un peu longuet et pas top au niveau musique). Si c'est encore comme ça ce soir on lève le camp demain matin pour repartir à zagora. Au passage on fera le taxi pour un jeune (19ans) québécois qui passe 6 mois en Europe et Maroc entre deux sessions d'étude.
Le camping au fond (en haut)
vendredi 18 mars 2011
Vendredi 18/03
Après un échange avec Momo le mécano qui a fait l'objet d'un reportage sur turbo M6 en mars 2010. Pour info c'est lui et ses mécanos qui font l'assistance (depuis Tanger)du 4L trophy. Nous quittons à regret le camping sindi bade de Zagoura (calme, emplacement ombragé dans la palmeraie, sanitaires propres et accueil sympa sans être "trop" comme souvent). Nous prenons la route toujours en direction du sud. Le paysage d'ici : un désert de pierres, entouré de montagnes-murailles parcourus d'un trait vert : l'oued draa escorté par les palmiers. La route est étroite et pour croiser un autre véhicule il ne faut pas hésiter à mordre la poussière. Le sable de plus en plus présent ainsi que les rabatteurs pour les promenades en 4X4 ou à dos de chameau. Tout cela n'est pas bien agréable mais heureusement le camping où nous nous posons ne manque pas de charme. Il est placé sur un promontoire, ce qui permet d'apprécier le paysage tout autour. Ce soir à 20h aura lieu la première soirée du festival
Construction de chaque coté de la route pour empêcher le sable d'envahir la chaussée
L'homme en plein travail (désolé pour le grand blanc en AR plan mais c'est un ford Mk6, on est trois véhicules sur le camping)
Vieux Mahamid dans la palmeraie voisine (accessible en mob)
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Construction de chaque coté de la route pour empêcher le sable d'envahir la chaussée
L'homme en plein travail (désolé pour le grand blanc en AR plan mais c'est un ford Mk6, on est trois véhicules sur le camping)
Vieux Mahamid dans la palmeraie voisine (accessible en mob)
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jeudi 17 mars 2011
Jeudi 17/03
Saïd, le responsable du camping, nous apprend qu'il y aura un festival du désert à Mhamid du 18 au 21/03. Voilà une bonne raison pour filer plein sud et faire une étape au camping sindibad de Zagora. Cette ville très touristique ne présente guère d'intérêt, sauf pour ceux qui envisagent une virée à dos de chameau dans le désert, ou acheter des vraies fausses antiquités. L'autre spécialité de la ville est la réparation automobile. A peine arrivé en ville, un land rover nous double et nous demande poliment par la vitre si on a un problème avec le camion. Plus tard dans l'après midi, un mécano vient nous voir au camping et propose de nous racheter notre mob 250€. Ensuite il constate que le cul du transit est un peu bas et propose de nous monter une lame de plus dans le paquet pour 170€. Ah business quand tu nous tiens !!!
Les au revoir de MarieThé à son professeur de réparation de khaïma (tente des nomades faite avec des couvertures en poil de dromadaire)
Ce n'est pas un décor de ciné, mais l'entrée d'un hotel à zagora
Le petit camping de ce soir, car demain direction Mhamid
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Les au revoir de MarieThé à son professeur de réparation de khaïma (tente des nomades faite avec des couvertures en poil de dromadaire)
Ce n'est pas un décor de ciné, mais l'entrée d'un hotel à zagora
Le petit camping de ce soir, car demain direction Mhamid
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Mercredi 16/03
8h15, nous sommes prêts et filons plein nord. C'est toujours désertique, montagneux avec des palmeraies et des oueds pleins de flaques... mais les couleurs changent, passant du rouge grenad au gris verdratre. Nous prenons un autostoppeur, mouhli mohamed, devant un site minier. Il nous explique le fonctionnement de cette mine de cobalt. L'un des puits fait 700m de profondeur. Il est responsable d'une équipe qui fait des sondages. En fin de matinée, nous nous installons au camping targi à Agdz. Les gens nous y accueillent avec sympathie (et avec le traditionnel thé de bienvenue). Une balade en mob l'après midi nous permet de découvrir la palmeraie, l'oued draa (avec de l'eau à cause d'un lacher au barrage de Ouarzazate en amont) et le village de tilliouine.
mardi 15 mars 2011
Mardi 15/03
Petite journée imprévue. Le voyage ne se déroule pas toujours comme prévu. Ce matin (ou plutot ce midi)après les pleins, la lessive etc... On tente de mettre la clé dans le neiman, mais refus de celui_ci d'accepter celle-la. En clair la clé rentre plus dans le trou. ça faisait quelques temps qu'on le sentait venir mais là : problemo.
Après maints graissages du trou, il faut en venir aux mains. Avant de sortir le marteau qui va bien, je consulte le forum transit pour voir si il y a la procédure. Bingo, c'est expliqué, mais il faut tout de même rentrer la clé, la tourner un peu pour appuyer sur un petit bitogneau afin de sortir le barillet. ça n'a pas été facile, mais elle a fini par renter, le barillet est extrait et pour l'instant on va démarrer avec un gros tournevis et il n'y a plus de bloquage de direction bien sur.
La nouvelle clé de contact de chez facom
Après maints graissages du trou, il faut en venir aux mains. Avant de sortir le marteau qui va bien, je consulte le forum transit pour voir si il y a la procédure. Bingo, c'est expliqué, mais il faut tout de même rentrer la clé, la tourner un peu pour appuyer sur un petit bitogneau afin de sortir le barillet. ça n'a pas été facile, mais elle a fini par renter, le barillet est extrait et pour l'instant on va démarrer avec un gros tournevis et il n'y a plus de bloquage de direction bien sur.
Lundi 14/03
Ce matin, nous avons visité la maison occupé par Charles de Foucauld de 1883 à 1884. On s'attendait à trouver une maison entretenue, décorée avec du mobilier d'époque, un guide commentant avec un minimum de français, et un prix d'entrée fixe. Mais non, rien de tout ça. La maison bien que jolie est dans un état pitoyable. Les pièces sont vides. Le guide est un vrai faux guide qui ne parle pas un mot de français. Et le prix de la visite est passé de 25 à 10 DH par personne, mais bon ! c'est l'afrique comme à dit Peter (un des deux allemands). On se documentera ailleurs.
Cet après-midi, la pluie a cessé et le vent est revenu, ce qui nous a décidé à quitter Tissint et nos deux allemands. Le paysage est plongé au loin dans un brouillard de sable. Ce sable balayait la route. Un panneau nous prévient : attention danger d'ensablement. Il faudra nettoyer de nouveau le filtre à air du véhicule. On comprend à quoi sert le chech qui enveloppe la tête et protège le visage. Des mini tornades soulèvent la poussière, dissimulent les arbres, et font se rejoindre la terre et le ciel. Puis voilà les dromadaires, il ne manquait plus qu'eux dans le paysage (type carte postale). Ils peuvent fermer leur première paupière pour protéger leurs yeux.
Nous avons fait un saut de puce de 70km pour arriver au camping de Foum zguid et c'est bien suffisant pour aujourd'hui.
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Les cigognes sont pas fières avec ce vent violent
Cet après-midi, la pluie a cessé et le vent est revenu, ce qui nous a décidé à quitter Tissint et nos deux allemands. Le paysage est plongé au loin dans un brouillard de sable. Ce sable balayait la route. Un panneau nous prévient : attention danger d'ensablement. Il faudra nettoyer de nouveau le filtre à air du véhicule. On comprend à quoi sert le chech qui enveloppe la tête et protège le visage. Des mini tornades soulèvent la poussière, dissimulent les arbres, et font se rejoindre la terre et le ciel. Puis voilà les dromadaires, il ne manquait plus qu'eux dans le paysage (type carte postale). Ils peuvent fermer leur première paupière pour protéger leurs yeux.
Nous avons fait un saut de puce de 70km pour arriver au camping de Foum zguid et c'est bien suffisant pour aujourd'hui.
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Les cigognes sont pas fières avec ce vent violent
Dimanche 13/03.
Aujourd'hui,(4ème jour au village) c'est jour de souk au village. On y trouve des légumes à profusion, des poulets vivants, du poisson, de la dinde vendue au détail, des marchands d'ustensiles en plastique, de djélabbah, de chaussures neuves ou d'occasion, de dattes, de miel, d'huile d'olive... et de sel d'oued (un affluent de l'oued Tissint est salé, ce sel est exploité à quelques kilomètres d'ici).
L'après-midi, nous avons pris en mob et avec les deux allemands la route de TAta pendant deux kilomètres. Sur la droite une piste nous a conduit jusqu'à un village et nous a permis de longer l'oued Tissint, d'avoir une vue plongeante sur la palmeraie. Au retour, nous avons empreunté une piste qui longe un oued à sec, aux rives de tuffe sculpté semblable à la cappadoce mais en bien plus petit.
Le Maroc n'a pas fini de nous étonner.
Le souk de Tissint. au premier plan, deux petits taxi : remorque ou brouette pour porter les provisions (les marocains donnent 1DH soit 0,10€)
L'après-midi, nous avons pris en mob et avec les deux allemands la route de TAta pendant deux kilomètres. Sur la droite une piste nous a conduit jusqu'à un village et nous a permis de longer l'oued Tissint, d'avoir une vue plongeante sur la palmeraie. Au retour, nous avons empreunté une piste qui longe un oued à sec, aux rives de tuffe sculpté semblable à la cappadoce mais en bien plus petit.
Le Maroc n'a pas fini de nous étonner.
Le souk de Tissint. au premier plan, deux petits taxi : remorque ou brouette pour porter les provisions (les marocains donnent 1DH soit 0,10€)
Samedi 12/03
Ces deux allemands snt décidément bien sympathique, même si nous ne parlons pas la même langue. Nous les suivons en mob dans de splendides paysages. Imagniez le désert avec de l'eau ,un oued ayant creusé son lit dans le sol d'une plaine sèche, et se promenant en faisant des méandres. L'eau est bleu, s'harmonisant avec le ciel. Au lieu la montagne s'assoie, s'étire longuement et se relève. Une bande d'oiseaux trempe dans l'eau à proximité de quelques palmiers. On entend rien que la cascade (cascade bani) pressée de rejoindre les profondeurs d'une grande vasque. On pourrait s'y baigner mais l'air ambiant est trop froid.
On rentre en traversant un village, une palmeraie. On visite une jolie Zaouïa toute blanche. C'est un mausolée où est est enterré un saint.
Camion de livraison de gaz : les bouteilles sont jetées dans la benne, ce qui explique les formes peu conventionnelles des bouteilles marocaines.
Seguia (canal) pour acheminer l'eau de l'oued dans la palmeraie
Zaouïa (mausolée)
On rentre en traversant un village, une palmeraie. On visite une jolie Zaouïa toute blanche. C'est un mausolée où est est enterré un saint.
Camion de livraison de gaz : les bouteilles sont jetées dans la benne, ce qui explique les formes peu conventionnelles des bouteilles marocaines.
Seguia (canal) pour acheminer l'eau de l'oued dans la palmeraie
Zaouïa (mausolée)
samedi 12 mars 2011
Vendredi 11/03
Une petite pluie incessante nous a contraints rester enfermés dans le véhicule une bonne partie de la journée. Le soir venu, le temps s'est amélioré, les contacts humains multipliés. Des hommes ont porté table basse ronde et chaises appartenant au café du coin. Ils discutaient en prenant le thé. C'est à ce moment que nous avons rencontré deux instituteurs. Le cycle primaire comporte six années, puis viennent trois années de collège, suivies des trois années de lycée. Ils ont des classes de 40 élèves. Ils nous aidé à connecter notre ordinateur à internet, mais sans succès.
Deux allemands ont chacun un camping car garé à coté du notre. Demain après-midi nous ferons une petite virée avec eux vers un joli site, nous en moped (mob en allemand) et eux avec des petites moto chinoises.
La rentrée des classes, beaucoup de jeunes dans la rue principale
Le traditionnel réparateur de mob
On se console comme on peut, après la pluie un bel arc en ciel
Deux allemands ont chacun un camping car garé à coté du notre. Demain après-midi nous ferons une petite virée avec eux vers un joli site, nous en moped (mob en allemand) et eux avec des petites moto chinoises.
La rentrée des classes, beaucoup de jeunes dans la rue principale
Le traditionnel réparateur de mob
On se console comme on peut, après la pluie un bel arc en ciel
Jeudi 10/03
Nous retrouvons les montagnes si joliment "peintes" de Tata. Nous nous dirigeons vers l'est en direction de Foumzgid. La route traverse une large et plate vallée, parsemée d'arbres plats (sans cime). Les montagnes nous suivent à droite et à gauche, on dirait un paysage de savane. On traverse de larges oued, rivière de cailloux secs. Avant au Maroc, il y avait des éléphants et des lions (jusqu'en 1922). Puis le paysage change, il devient lunaire. On y découvre une faille au fond de laquelle coule l'oued Tissint. Plus loin, à l'entrée du village Tissint, une autre surprise de la nature : les cascades d'Atiq. Nous arrêtons le véhicule pour les admirer et nous passerons la nuit ici.
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jeudi 10 mars 2011
Mercredi 9/03
Après avoir fait nos au revoir à Roger et Martine, nous nous préparons à lever le camp.
Bon, on y va ! Pas trop vite tout de même.
Un petit tour au souk, pour faire l'appoint de légumes, un petit sandwich en ville, et on finit par prendre la route à la mi-journée.
En passant au col tizi mlil, on en profite pour regarder l'altitude au GPS : 1660 m. C'est le point d'arrivée de la piste qu'on a emprunté quelques jours auparavant, le campement de Tafraout est à 987 m.
En arrivant à quelques km d'Igherm, on croise pas mal de véhicules bien chargés, ça sent le retour du souk à plein nez. En arrivant en ville on en profite pour en faire le tour, c'est l'heure ou les marchands rangent leurs articles. On trouvera tout de même un petit outil en acier forgé (à base de fer à béton) pour sarcler le potager, et un lot de pots à épices qui nous fait défaut dans notre cuisine à roulettes.
Ensuite on empreinte une route différente (de celle utilisé quelques jours plus tôt) pour aller à Tata. Nous ne regrettons pas, car les paysages sont à couper le souffle : couleur et texture des montagnes, villages accrochés à leurs flancs, et en bas d'une longue(et raide) descente un très belle palmeraie où nous décidons de nous poser pour la nuit.
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Bon, on y va ! Pas trop vite tout de même.
Un petit tour au souk, pour faire l'appoint de légumes, un petit sandwich en ville, et on finit par prendre la route à la mi-journée.
En passant au col tizi mlil, on en profite pour regarder l'altitude au GPS : 1660 m. C'est le point d'arrivée de la piste qu'on a emprunté quelques jours auparavant, le campement de Tafraout est à 987 m.
En arrivant à quelques km d'Igherm, on croise pas mal de véhicules bien chargés, ça sent le retour du souk à plein nez. En arrivant en ville on en profite pour en faire le tour, c'est l'heure ou les marchands rangent leurs articles. On trouvera tout de même un petit outil en acier forgé (à base de fer à béton) pour sarcler le potager, et un lot de pots à épices qui nous fait défaut dans notre cuisine à roulettes.
Ensuite on empreinte une route différente (de celle utilisé quelques jours plus tôt) pour aller à Tata. Nous ne regrettons pas, car les paysages sont à couper le souffle : couleur et texture des montagnes, villages accrochés à leurs flancs, et en bas d'une longue(et raide) descente un très belle palmeraie où nous décidons de nous poser pour la nuit.
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